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De l'humour, noir. Comme une nuit sans lune. Sans lune et l'autre des lueurs étoilées. Bien, grâce à cette nouvelle, j'ai enfin compris pourquoi, lorsque mes enfants étaient petits, je faisais le malin tout habillé de rouge, avec une barbe blanche postiche
! L'écriture a du style, on ressent le plaisir de l'autrice. "Petit poisson deviendra grand, pourvu que Dieu lui prête vie."
Ça commence par une magie féerique, de belles descriptions, un style impeccable, avant de basculer dans une folie méthodique qui nous concerne tous, un peu ; qui n'a jamais replacé une fourchette près d'une assiette... Et puis ça devient sombre, morbide et jouissif, à souhait... La fin est intéressante, même si je m'attendais à ce que Gus prenne la place du Père Noël, qui, pour le coup, aurait été une véritable ordure...
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